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AUDENTIA - Page 290

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  • Les versions FRANCE PROSPECT janvier 2013, sont dès aujourd’hui disponibles chez AUDENTIA avec une remise de 10 % !

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    Les versions FRANCE PROSPECT janvier 2013, sont dès aujourd’hui disponibles chez AUDENTIA avec une remise de 10 % !

     

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  • Miser sur le terroir et le haut de gamme, un pari gagnant

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    "Miser sur le terroir et le haut de gamme, un pari gagnant

     

    Claude CarnielLa charcuterie artisanale Pierre Oteiza est bien ancrée dans son terroir Basque. Basée aux Aldudes, village natal du fondateur Pierre Oteiza, à cinquante kilomètres de Bayonne, l’entreprise emploie une soixantaine de salariés et réalise huit millions d’€ de chiffre d’affaires en proposant en direct ses jambons, salaisons et plats cuisinés dans ses dix boutiques. Les ventes s’effectuent également sur Internet, par correspondance ainsi que dans des salons et foires (salon d’agriculture à Paris et à Bordeaux, foire de Metz...). La société s’est internationalisée grâce à un réseau de partenaires et de revendeurs dans les épiceries fines et restaurants haut de gamme en France, en Europe (Belgique, Luxembourg, Angleterre, Norvège...), en Asie du Sud Est (Japon, Hong Kong...) et sur le continent nord américain (Canada).

     

    De la passion… et du professionnalisme

     

    Pourtant, rien ne prédisposait au départ le fondateur à un tel succès. « Pierre Oteiza est à l’origine un fils d’agriculteur, éleveur de brebis, de vaches et de porcs. Il a appris le métier de la boucherie auprès de son oncle, à Paris, pendant cinq ans », relève Claude Carniel, le directeur général. Le déclic intervient en 1989, un an après avoir créé son entreprise de charcuterie artisanale. « A l’occasion du salon de l’Agriculture de Paris, Pierre Oteiza découvre les derniers spécimens du porc pie noir du Pays Basque, dit porc basque. Il en achète deux pour les ramener aux Aldudes et les observer en vue de relancer la production. » Ce qui arrive en 1990, avec l’aide de quelques éleveurs passionnés, il met en place l’association des éleveurs de porc basque baptisée « Le porc basque en vallée des Aldudes ». Initiative qui va faire boule de neige car la filière du porc basque, et les éleveurs en premier lieu, ne cesse de croître au rythme du propre essor de Pierre Oteiza.

     

    Mais, la passion seule ne suffit pas. Il a fallu notamment mettre son atelier aux normes européennes en 1992 et sa société en rapport avec ses objectifs. Celle-ci s’est développée au cours des années 90, au travers de l’ouverture successive de boutiques à Saint Jean Pied de Port, Capbreton, Ainhoa, Saint-Jean-de-Luz, Bordeaux, Bayonne, Biarritz et Paris. Depuis lors, la société n’a eu de cesse d’étendre son influence, en France et à l’international. « Nous nous sommes placés dès le départ sur une niche, ce qui a permis ce fort développement », remarque Claude Carniel. « Nous réalisons environ 40% de notre chiffre d’affaires via des revendeurs qui eux-mêmes sont à parité dans les ventes en France et à l’international. Nous sommes ainsi présents aussi bien en Europe, qu’en Asie ou en Amérique du Nord. Nous visons prochainement les Etats-Unis pour lesquels nous espérons obtenir rapidement un agrément à l’image de celui que nous avons pour exporter au Japon et au Canada. »

     

    Un succès qui profite à tous

     

    Ce déploiement a nécessité pas mal d’ajustements dans les outils de production, que ce soit pour moderniser les ateliers de transformation ou créer le Séchoir collectif des Altudes, ainsi que pour l’abattoir intercommunal de Saint-Jean Pied de Port. Or, le jeu en vaut la chandelle. En effet, Pierre Oteiza a entraîné avec lui plus d’une cinquantaine d’éleveurs et toute cette filière se bat pour obtenir une appellation d’origine contrôlée pour le Kintoa, le jambon sec et la viande issue du porc basque. Sans oublier « les effets positifs que ce développement économique entraîne dans la Vallée en termes d’emplois, de vie culturelle et sociale », poursuit le DG. « Avec le soutien de l’entreprise, il a été possible d’ouvrir une crèche dans la Vallée par exemple. »

     

    Enfin, la charcuterie artisanale, compte tenu de sa nature et de son emplacement géographique, s’avère sensible au développement durable. Ainsi, Pierre Oteiza participe à une démarche appelée Destination Développement Durable qui vise à conforter son ancrage local, ses actions pour la préservation de son environnement et son souci d’un développement harmonieux et maîtrisé. Déjà, au printemps 2009, la société a profité des travaux d’agrandissement du Séchoir Collectif des Aldudes pour que 400 m² de panneaux photovoltaïques couvrent son toit. Cela prouve que Pierre Oteiza place son action dans une optique à long terme. Donner du temps au temps aurait dit un précédent Président de la République… "


    Source : 

    http://www.institut-sage.com/voir/1730#utm_medium=newsletter&utm_source=hebdo

  • Les pertes de données peuvent coûter 2,7 millions d'euros à l’entreprise

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    Les pertes de données peuvent coûter 2,7 millions d'euros à l’entreprise

     

    "L'utilisation d'appareils grand public sur le lieu de travail, les équipes géographiquement dispersées et la fréquence des réseaux sociaux ont un impact considérable sur les modalités de partage des informations des entreprises. Posant ainsi des problèmes quant à la sécurité des données. Selon l’enquête réalisée par Vanson Bourne auprès de 175 décideurs informatiques, d'entreprises employant plus de cinq cents personnes, en Allemagne, en France et au Royaume-Uni, pourQuest Software, filiale de Dell spécialisée dans les solutions de gestion de l’environnement IT, les politiques actuelles de sécurité de l'information ne protègent pas les informations critiques. Cette défaillance est due au fait que les processus de gestion des identités et des accès n'ont pas été mis à jour pour refléter l'évolution des besoins des employés.

     

    Augmentation des problèmes de sécurité

     

    En outre, selon les résultats de l'enquête, 65% des DSI pensent que les employés partagent les données de l'entreprise de la manière la plus simple et la plus rapide qui soit. Ils contournent régulièrement la politique de l'entreprise et ne se sentent pas vraiment concernés par la protection de ses informations critiques. En outre, 69% pensent également que les entreprises et les employés doivent engager davantage leur responsabilité en ce qui concerne les méthodes de partage, de stockage et de gestion des informations. Compte tenu de l'impact potentiel important de la perte de données sur la sécurité, la situation financière et la réputation des entreprises, la gestion des identités et des accès sera une priorité pour plus de trois quarts des entreprises européennes en 2013.

     

    Les DSI européens déclarent que les informations sur le personnel (42%), les clients (33%) et RH (31%) figurent parmi les données les plus partagées sur les réseaux sociaux et les sites Web tiers. Au cours des 18 derniers mois, les informations RH (30%), clients (25%) et financières (23%) ont été exposées à des problèmes de sécurité à l'extérieur de l'entreprise, en raison d'une mauvaise gestion des identités et des accès. Parmi les entreprises qui en ont été victimes, le tiers déclare avoir perdu la confiance des clients et 32% estiment que leur réputation a été entachée.

     

    Baisse de la productivité

     

    Près de la totalité des DSI pensent également qu'une mauvaise gestion des identités et des accès conduit les employés à utiliser des sites tiers comme solution de contournement pour le stockage et le partage d'informations, ce qui nuit à la collaboration et à la productivité. Le tiers des DSI ont déclaré qu'au cours des 18 derniers mois, des employés ont été bloqués pendant de longues périodes faute de pouvoir accéder aux informations nécessaires pour travailler.

     

    Au cours des douze derniers mois, 62% des DSI ont subi des pressions visant la protection des données de leur entreprise en raison du nombre croissant de pertes de données d'entreprise relayées par les médias. Ces pressions proviennent principalement des équipes juridiques internes (41%), des directions générales (40%) et des organismes de réglementation (33%)."

     

    Source : 

    http://www.institut-sage.com/voir/1731#utm_medium=newsletter&utm_source=hebdo

  • Développement à l’export : adopter les bons comportements au Mexique

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    Développement à l’export : adopter les bons comportements au Mexique

     

    "S'il n'a pas le poids et la surface du Brésil, de la Chine, de l'Inde et de la Russie, le Mexique est clairement en train de monter de puissance sur la scène économique internationale. Deuxième puissance économique d’Amérique latine, après le Brésil et la 14ème  économie mondiale, sa croissance moyenne de l’économie, depuis une vingtaine d’années, se situe aux alentours de 3%. Son une évolution démographique devrait lui permettre au pays d'atteindre 150 millions d’habitants d’ici 2040. De sa par sa position géographique et les nombreux accords de libre-échange qu'il a signé, le Mexique est, pour les entreprises européennes, une porte d'entrée tant sur l'Amérique du nord (les exportations mexicaines ont été destinées à près de 80% vers les Etats-Unis durant l’année 2011) que sur l'Amérique centrale et du sud.

    Une zone de libre-échange

    Aujourd’hui, plus de 90% des échanges mexicains sont régis par des accords de libre-échange, qui englobent 44 pays. Avec l'Union européenne, un traité de libre-échange a été conclu le 1er juillet 2000. A la suite de cet accord, le commerce bilatéral de biens industriels est libre de tarifs douaniers depuis 2003 pour les biens mexicains entrant sur le territoire européen et depuis 2007 pour les biens européens exportés au Mexique. Résultat : les exportations de l’UE à destination du Mexique ont atteint en 2011, 37,8 milliards de dollars, soit une hausse de 16% par rapport à 2010. L’Union européenne a consolidé sa 3ème place en qualité de fournisseur du Mexique, juste après les Etats-Unis et la Chine. Le Mexique s'est également attelé à la mise en place au niveau national d'un cadre juridique stable (libre circulation des capitaux, protection des investisseurs, résulotion des litiges etc.) afin de favoriser les invesitssement directs étrangers.

    Alors que les salaires dans le secteur manufacturier progressent de 10 à 20% par an en Asie, ils sont stables au Mexique. Du coup les écarts de rémunération ont, selon les analystes de JP Morgan, pratiquement disparu avec la Chine par exemple. De quoi attirer nombre de groupes internationaux dans le pays aztèque notamment dans les secteurs de l'automobile et de l'aéronautique. Chrysler, Bombardier, Volswagen augmentent leurs investissements au Mexique pour servir les marchés à l'échelon régional voir mondial. Dernier en date : Loréal. Le géant des cométiques vient tout juste d'inaugurer au Mexique la plus grande usine de produits de coloration capillaire du monde en terme de capacité de production. Avec un investissement de plus de cent millions de dollars, cette  implantation de 32 000 m², qui va permettre de doubler les capacités de production dans ce pays (Loréal possède déjà une usine à Mexico), approvisionnera l'Amérique latine et l'Amérique du nord. De quoi rasurer les ornanismes internationaux sur l'évolution économque du pays. Ainsi en juillet dernier, le FMI, compte tenu d'un certain nombre d'indicateurs positifs qui laissent augurer une reprise de l’activité et une confiance des investisseurs, avait  révisé à la hausse ses prévisions de croissance pour 2012 à 3,9% contre 3,6% en avril.

     

    De grands défis sociaux

     

    De son côté, l'OCDE, dans sa dernière livraison de projections économiques (novembre 2012) notait que « malgré le ralentissement mondial, l’économie mexicaine a connu un essor rapide et une progression de l’emploi dans le secteur formel, grâce à la vigueur de sa demande intérieure et de ses exportations. La reprise fragile de l’économie des principaux partenaires commerciaux du Mexique et le recul de la demande extérieure à la fin de 2012 modèreront les exportations et l’investissement jusqu’au milieu de 2013. À mesure que la demande mondiale, notamment la demande des États-Unis, se redressera fin 2013 et en 2014, la croissance se raffermira progressivement pour ressortir à environ 3,5% d’ici à 2014. Des réformes structurelles sont nécessaires pour amplifier la croissance potentielle, notamment l’adoption rapide du projet de loi sur le marché du travail qui vise à stimuler la création d’emplois et les revenus, et la libéralisation du secteur de l’énergie. » Si le Mexique a beaucoup progressé, il reste en effet de grands défis sociaux à relever et de considérables investissements à effectuer en matière d'infrastructures, d'éducation, surtout primaire et secondaire, et de santé. Sans oublier la situation de guerre ouverte déclarée aux narcotrafiquants (essentiellement concentrée dans le nord et l’ouest du pays).

     

    Voici, réalisé par Jérôme Bondu, expert en veille et intelligence économique, un guide succinct des comportements et des gestes lorsque l’on veut commercer au Mexique. Pour chaque pays étudié – de grands pays partenaires commerciaux de la France – il s’agit de décrire les éléments relatifs aux réseaux, aux habitudes, à la sociologie, à la psychologie des interlocuteurs. Le prochain volet sera consacré à l'Espagne.

     

    Ce guide a été réalisé par Jérôme Bondu, expert en veille et intelligence économique, avec l’aide de Karen Cossigny Mondragon et Miguel Salas Vega.

     

    EN AMONT D’UN VOYAGE D’AFFAIRES A L’ETRANGER

     

    Est-ce que la culture du pays visé est proche de la culture française ? Quels sont les points communs et les différences ?

    La hiérarchie au travail est très présente, les process sont lourds et les décisions ne sont pas prises collectivement (hiérarchie en entonnoir).

    La notion du temps est très approximative : exiger une heure précise est un signe de mauvaise éducation, et arriver avec du retard ce n’est pas forcément un signe d’impolitesse. La durée de l’attente est le reflet de la position hiérarchie en entreprise : Si un supérieur a un rendez-vous avec un employé, il le fera patienter plus longtemps que s'il avait rendez-vous avec un client.

    Quels sont les points importants à connaitre de la culture du pays, sur lesquels nos interlocuteurs s’étonneraient que nous ne soyons pas au courant ?

    Les Mexicains s’attendront à ce que vous ayez entendu parleur de la révolution mexicaine de 1920.

    Sinon les mexicains seront enchantés de vous faire découvrir leur culture et notamment leurs traditions culinaires. Refuser de goûter un plat pourra d’ailleurs être mal pris.

    Parallèlement ils vont être très curieux de vous et de votre pays et vont vous poser beaucoup de questions.

    Quels sont les susceptibilités nationales ?

    Une maxime locale explique : « Si tu veux que tout se passe bien, il ne faut pas parler de ton parti politique, ta religion, ta mère et ton équipe de foot ».

    En général, les mexicains sont plutôt croyants (chrétiens catholiques) et ont une pratique traditionnelle. Par exemple une femme et un homme doivent dormir dans des chambres séparés tant qu'ils ne sont pas mariés.

    Les hommes peuvent être vus comme machos mais également galants : ils offriront à une femme de porter ses affaires, et lui ouvriront les portes sur son passage.

    Quelles sont les fiertés nationales ?

    La bataille de Puebla qu'ils ont gagné contre les Français en 1862, la vierge mexicaine, la culture pré-colombienne,  la musique Banda et la cuisine mexicaine (tacos, pozole…).

    Est-il important de passer par un intermédiaire local ? Quels sont les avantages et inconvénients ?

    Pas forcément : L'espagnol mexicain est très compréhensible.

    Et les grandes entreprises sont sur des standards internationaux. Par contre les plus petites entreprises peuvent être plus opaques, et un intermédiaire sera alors le bienvenu.

    Quels sont les réseaux importants ?

    Le groupe Telmex-Grupo Carso appartenant à Carlos Slim.

    Le groupe Bimbo, spécialisé dans l’alimentaire.

    Les groupes Modelo (Corona), Pemex (énergie), Televisa (médias).

    Enfin, l'administration est très puissante (fédérale et locale) et les hommes politique sont plus présents qu’en France.

     

    PENDANT LEVOYAGE

     

    Y-a-t-il quelque chose à faire en priorité lorsque l’on arrive dans le pays ?

    S'enregistrer auprès de l'ambassade de France.

    Il faudra aussi prendre quelques mesures simples pour assurer sa sécurité : trouver un logement sûr, ne pas marcher seul le soir dans la rue (à part à Mexico city au centre), éviter de porter de l'or sur soi, et en général tout ce qui brille… Il faut savoir aussi que la zone frontière avec les Etats-Unis est très dangereuse.

    Faut-il apporter des cadeaux de France ?

    Oui, cela est même conseillé, les mexicains vous en feront probablement aussi (vins, fromage…).

    Comment dire bonjour, à un homme, à une femme ?

    On peut distinguer trois niveaux : La poignée de main. L’accolade (abrazo) avec les amis et relations d’affaires. La bise (seulement sur une joue) avec les proches.

    Quels gestes, paroles ou comportements notre interlocuteur peut-il avoir, et auxquels nous ne serions pas habitués en France ?

    Votre interlocuteur vous posera facilement des questions sur votre vie personnelle car il n'y a pas de distinction entre vie professionnelle et personnelle. Il est préférable d’être ouvert et d’y répondre, sans oublier de poser des questions en retour (sinon cela peut être interprété comme un manque de politesse).

    Ils sont très tactiles.

    Quels sont les gestes, paroles, comportements à proscrire ?

    La politesse est une vertu qu’il faut pratiquer sans modération : dire s’il vous plait, remercier…

    Petit détail : se moucher à table est signe de mauvaise éducation.

    Comment peut être interprété un sourire ?

    Le sourire est conseillé et bienvenu, les Mexicains sont très expressifs.

    Comment peut être interprété un visage sérieux et impassible ?

    Un visage trop sérieux peut être interprété comme l’expression d’un problème. Votre interlocuteur cherchera à comprendre votre souci.

    Quels sont les habitudes de négociation (par exemple : annoncer un prix ferme et s’y tenir, annoncer un prix et marchander) ?

    La négociation se situe plus dans l'art de la parole et d'exposer son point de vue. Dire NON est très mal vu.

    En cas de désaccord, il est préférable de dire oui mais.

    Quels sont les codes qui montrent qu’une affaire avance ou au contraire qu’elle est en train de se bloquer ?

    Le oui est un oui réel.

    Le oui mais est synonyme de non, comme vu plus haut.

    Quelles est l’attitude à adopter pour débloquer une situation ?

    La concertation.

    Quels moments de convivialité pouvons-nous proposer à nos interlocuteurs (déjeuner/dîner, activités sportives type golf etc.) ?

    La bière coule à flot. Ne jamais hésiter à en offrir.

    Le repas du midi est toujours pris en équipe, jamais pris isolément.

    Est-il de bon ton de s’enquérir de la famille de son interlocuteur ?

    Oui, poser des questions à son interlocuteur ou demander des nouvelles (professionnelles et personnelles) montrent que vous lui portez de l'intérêt.

     

    EN AVAL

     

    Lorsque le contrat est signé, est-il de coutume de fêter l’évènement ? Si oui, comment ?

    Oui tout est prétexte à la fête (contrat, départ, anniversaire…).

    Un barbecue ou un diner dans un restaurant italien (qui est vu comme le haut de gamme) est très bien vu.

    De retour en France, quel geste peut-être apprécié ?

    Demander des nouvelles.

    "

    Source : 

    http://www.institut-sage.com/voir/1728#utm_medium=newsletter&utm_source=hebdo

  • Asus EeePad Transformer TF300T-1G029A 10.1" LED 32 Go - Rouge + Station d'accueil Tablette tactile - Asus

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    Asus EeePad Transformer TF300T-1G029A 10.1" LED 32 Go - Rouge + Station d'accueil

    Tablette tactile - Asus

    Processeur : Nvidia Tegra 3, mémoire vive : 1 Go, disque dur : 32 Go Flash. Webcam à l'avant et à l'arrière (8 Mégapixels), écran tactile 10,1" LED

    Type de boîtier Tablette Tactile
    Poids en kg 1,18 Kg
    Ecran 10,1 "
    Processeur NVIDIA Tegra 3 Quad-Core
    RAM installée 1 Go
    Disque dur 32 Go
    Type de disque dur Mémoire Flash
    Lecteur de cartes mémoire Micro SD ( MMC/SD sur le dock)
    Resolution écran Ecran tactile
    Résolution maxi avec mémoire installée 1280 x 800
    Webcam intégrée Oui
    Résolution de la webcam 1.2 Mpixel à l'avant, 8 Mpixel à l'arrière
    Bluetooth oui
    Carte son Technologie Sonic Master
    Communication sans fil WiFi 802.11 b/g/n + Bluetooth 3.0
    Connecteurs 1 entrée-sortie audio, 1 port micro HDMI, 1 40 broches, 1 USB 2.0 sur le dock
    Dispositif de pointage TouchPad (pavé tactile)
    Type de batterie / autonomie Lithium-Polymère 2 cellules 2940 mAh, jusqu'à 15h00 d'autonomie
    Système d'exploitation et Logiciels fournis Android 4.0 Icecream Sandwich**
      ** Système d’exploitation soumis à l'acceptation d’une licence. Voir conditions ici : http://www.fnac.com/os
    Caractéristiques complémentaires Clavier chiclet
    Dimensions (l x p x h) en mm Pad : 263 x 181 x 10 Dock : 263 x 181 x 10

     

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  • Panasonic TX-P50GT50 3D Téléviseur Plasma 46’’ à 52’’ - Panasonic

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    Panasonic TX-P50GT50 3D

    Téléviseur Plasma 46’’ à 52’’ - Panasonic

    Diagonale de l'écran : 127 cm, HDTV 1080p, Ecran plasma Full HD 3D, TNT HD MPEG4 et analogique. Les lunettes sont indispensables pour profilter de la 3D. Lunettes vendues séparement.

    Technologie Plasma
    Taille écran 127 cm
    Fréquence de balayage (max) 2500 Hz
    Fonctions 3D et TV connectée
    Technologie 3D Active
    Incrustation d'image PAT
    Résolution 1920 x 1080
    Contraste 5500000 :1
    Temps de réponse 0,001 ms
    Tuner Analogique + TNT HD (MPEG4)
    Nombre de haut-parleurs 2 hauts parleurs, 1 subwoofer
    Connectivité Ethernet, Réseau local sans fil, Bluetooth
    Compatibilité DLNA Oui
    Widgets et contenus interactifs Navigateur internet, Social networking (Facebook, Twitter), Skype
    Port USB 3 USB 2.0
    Fonctions USB Musique, photo, vidéo et enregistrement
    Entrée(s) HDMI 4 HDMI
    Nombre de prises Péritel 1 SCART
    Sortie(s) Audio 1 numérique optique
    Entrée(s) informatique Lecteur de cartes mémoire SDXC
    Prise casque Oui
    Mise en veille programmable Oui
    Support de table Pivotant
    Support mural En option
    Caractéristiques complémentaires Contrôle à distance avec le portable, 1 Entrée composante (YPbPr/YCbCr), 1 Entrée vidéo composite, Conversion 2D/3D avec reconnaissance faciale, Dolby Digital Plus/DolbyPulse/DTS 2.0+Digital Out. Lunettes 3D vendues séparement.
    Consommation (en Watts) 183 Watts
    Dimensions (l x p x h) en mm 1170 x 335 x 754
    Dimensions de l’écran 1170 x 47 x 704
    Poids net support de table inclus 27 Kg


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