Les secrets du marketing viral , Le pouvoir du bouche à oreille puissance 10Seth Godin, Larry Cohen
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«Le marketing viral, c'est beaucoup plus que du marketing, c'est un phénomène de société que nul ne peut plus ignorer.»
Le Journal d'Internet
«Ce livre est la référence sur le sujet.»
Le Journal du Net
«Investissement minimal pour impact maximal.»
Management
Voici l'ouvrage le plus complet sur une technique désormais essentielle du marketing : le marketing viral.
Seth Godin, ancien Vice-Président Marketing direct de Yahoo !, livre ici tous les secrets de ce marketing qui a fait le succès, par exemple, du Vélib, de Second Life, du Prozac ou du premier Harry Potter.
Il montre que, grâce à Internet, le bouche à oreille savamment orchestré permet, pour un budget minimal, d'obtenir un maximum d'impact en un temps record.
«En marketing, Godin is God» disent les Américains. Auteur des célèbres concepts de Permission Marketing et de Vache pourpre, Seth Godin récidive avec cet ouvrage dont plus de 250 000 copies ont été téléchargées par les internautes... copies qu'ils ont ensuite (Marketing viral oblige !) envoyées à plus de 600 000 de leurs amis...
Extrait du livre :
Les individus sont plus connectés que jamais. Non seulement on a présent à l'esprit que nos amis ont des amis, mais on peut les joindre plus vite et plus souvent que par le passé
Essayez de vous souvenir du passé lointain. Disons d'il y a dix ans.
A combien de personnes téléphoniez-vous régulièrement à cette époque ? A une dizaine, une vingtaine ou une trentaine dans votre vie personnelle, peut-être une centaine dans le cadre de votre travail ?
Regardez à présent la boîte de réception de votre courrier électronique ou la liste de contacts de votre messagerie vocale. De combien de personnes avez-vous des nouvelles chaque semaine ?
Nous sommes beaucoup plus en relation les uns avec les autres que auparavant. Qui plus est, nous avons désormais des contacts de deuxième, de troisième et de quatrième rang. Je viens de recevoir un message du conjoint d'une personne que j'avais connue vingt ans plus tôt en colonie de vacances et qui avait obtenu mon adresse e-mail d'une autre connaissance. Un autre message, envoyé par une de mes anciennes collègues, me parle d'un médecin à qui l'on menace de retirer son autorisation d'exercer en raison de son recours à la médecine douce. Mon interlocutrice prétend que sa belle-mère souffrira affreusement si elle ne peut plus se faire soigner par lui.
J'ai du mal à imaginer que l'une ou l'autre personne prendrait contact avec moi si cela les obligeait à traverser le village et à frapper à ma porte ou à m'appeler au téléphone. Mais dès que l'on se connecte à Internet, on se met, à un certain niveau, en rapport avec tout le monde. La connexion électronique fait circuler les idées. A toute vitesse.
Y a-t-il des différences entre le bouche à oreille et les idées virus ? Oui, et elles sont au nombre de deux. D'abord, le bouche à oreille progresse généralement moins vite, et de façon plus «analogique». Quand un livre vous a plu, vous en parlez éventuellement à un ou deux amis. Mais il est peu probable que ceux-ci transmettent le message à d'autres tant qu'ils n'ont pas lu le livre eux-mêmes. Ensuite, le bouche à oreille finit immanquablement par s'éteindre. Etant donné qu'il touche relativement peu de monde, il suffit d'une baisse même modérée du nombre de participants pour que chaque nouvelle génération de participants soit plus petite que la précédente.
Ni l'un, ni l'autre de ces principes ne s'appliquent aux idées virus. Celles-ci se propagent vite et loin. Par le biais du «souris-dire» (l'ouï-dire amplifié par la puissance d'Internet), on peut informer cent amis... ou mille amis. L'explosion du nombre d'individus joignables et l'accélération des communications favorisent la diffusion du virus.