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AUDENTIA - Page 19

  • Cinq conseils pour se prémunir contre les « rançongiciels » (ransomware)

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    01/09/2017

    Vous avez reçu un message douteux contenant des pièces jointes ? Vous avez retrouvé par hasard une clé USB ? Gare aux « rançongiciels » ! Vos données peuvent-être chiffrées et prises en otage contre rançon. Voici 5 conseils pour minimiser les risques.

    © Fotolia

    Qu'est-ce qu'un ransomware ?

    Entreprises, vous êtes de plus en plus nombreuses à recevoir des messages douteux contenant des pièces jointes ou des liens vous invitant à les ouvrir.

    Prenez garde, des logiciels malveillants appelés « rançongiciels » ou « ransomware » peuvent s’y cacher. Leur but : chiffrer (coder) vos données pour vous les rendre moyennant une rançon. Bien entendu, la payer ne garantit pas la récupération de vos données. Mieux vaut donc vous prémunir contre ce type d’attaque.

    Dernière minute

    Le Centre gouvernemental de veille, d'alerte, et de réponse aux attaques informatiques (CERT-FR) constate l'apparition d'un nouveau rançongiciel, connu sous le nom de « Petya » ou « Petrwrap ». Comme « WannaCrypt », le ransomware qui avait fait l'objet d'une alerte le 15 mai 2017, « Petya » semble exploiter les vulnérabilités MS17-010 pour se propager. Et comme « WannaCrypt », ce rançongiciel provoque le chiffrement de tous les fichiers d’un ordinateur ou d'un réseau. Des moyens existent pour y remédier.

    Recommandations préventives du CERT-FR :

    • l’application immédiate des mises à jour de sécurité permettant de corriger les failles exploitées pour la propagation ;
    • le respect des recommandations génériques relatives aux rançongiciels ;
    • de limiter l'exposition du service SMB, en particulier sur internet ;
    • respecter le principe de moindre privilège pour les utilisateurs, afin de limiter l'élévation de privilèges et la propagation latérale de l'attaquant;
    • de ne pas payer la rançon.

    Recommandations du CERT-FR en cas d'infection :

    En cas de découverte du code malveillant sur vos systèmes, les recommandations du CERT-FR sont

    • Déconnecter immédiatement du réseau les machines identifiées comme compromises, sans les éteindre afin de bloquer la poursuite du chiffrement et la destruction des documents partagés.
    • Alerter du responsable sécurité ou du service informatique au plus tôt.
    • Sauvegarder les fichiers importants sur des supports de données isolés.

    >> Voir le bulletin d'alerte

     

    1. Pour se prémunir d'un ransomware, effectuez des sauvegardes régulières de vos données

    C’est le meilleur moyen de couper l’herbe sous le pied aux pirates souhaitant prendre vos données en otage ! Déplacez physiquement la sauvegarde de votre réseau (hors réseau), placez-la en lieu sûr et veillez à ce qu’elle fonctionne !

    2. Pour se prémunir d'un ransomware, n’ouvrez pas les messages dont la provenance ou la forme est douteuse

    Ne vous laissez pas tromper par un simple logo ! Pire, le hacker peut avoir récupéré certaines de vos données préalablement (les noms de vos clients par exemple) et créer des adresses de messagerie ressemblant à un détail près à celle de vos interlocuteurs habituels. Restez donc très vigilants ! Certains messages paraissent tout à fait originaux.

    Apprenez à distinguer des emails piégés (ou autres formes de récupération de vos données) sur la Hack Academy. 

    Vous avez un doute ? Contactez le messager par un autre biais.

    Lire aussi : Sécurité sur le web : découvrez le nouveau site web cybermalveillance.gouv.fr

    3. Pour se prémunir d'un ransomware, apprenez à identifier les extensions des fichiers douteuses

    Vous recevez habituellement des fichiers en .doc ou .mp4 (par exemple) et le fichier du message dont vous avez un doute se finit par un autre type d’extension ? Ne les ouvrez surtout pas ! Exemples : pif ; .com ; .bat ; .exe ; .vbs ; .lnk… Attention à l’ouverture de pièces jointes de type .scr ou .cab. Comme le rappelle l’ Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (ANSSI), il s’agit des extensions de compression des campagnes CTB-Locker sévissant chez les particuliers, les PME ou les mairies.

    Lire aussi : Dix règles à respecter pour être (presque) sûr de vous faire pirater votre ordinateur

    4. Pour se prémunir d'un ransomware, mettez à jour vos principaux outils

    On  ne vous le dira jamais assez : Windows, antivirus, lecteur PDF, navigateur… Veillez à leurs mises à jour ! Si possible, désactivez les macros des solutions de bureautique qui permettent d’effectuer des tâches de manière automatisée. Cette règle évitera en effet la propagation des rançongiciels via les vulnérabilités des applications.

    Considérez que, d'une manière générale, les systèmes d'exploitation en fin de vie, qui ne sont plus mis à jour, donnent aux attaquants un moyen d'accès plus facile à vos systèmes.

    5. Pour se prémunir d'un ransomware, utilisez un compte « utilisateur » plutôt qu’ « administrateur »

    Nous vous l’avions déjà conseillé, ne naviguez pas depuis un compte administrateur. L’administrateur d’un ordinateur dispose d’un certain nombre de privilèges sur celui-ci, comme réaliser certaines actions ou accéder à certains fichiers cachés de votre ordinateur. Préférez l’utilisation d’un compte utilisateur. Cela ralentira, voire dissuadera le voleur dans ses actions malveillantes.

    Lire aussi : comment protéger ses données personnelles ? | Sécurité de vos données : les 7 méthodes de piratage les plus courantes

     

    Infographie : version texte ci-dessus

    Publié initialement le 12/05/2017

     
  • Comment devenir micro-entrepreneur ?

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    Source : https://www.economie.gouv.fr/entreprises/devenir-micro-entrepreneur

     

    "Comment devenir micro-entrepreneur ?

    06/09/2017

    Le régime des micro-entrepreneurs (anciennement auto-entrepreneurs) permet de bénéficier de formalités de création allégées et d'un mode de calcul et de paiement simplifié de l'impôt sur le revenu et des cotisations sociales. Quelles conditions devez-vous respecter pour bénéficier de ce régime ?

    ©Phovoir

    Nouvelles annonces de mesures en faveur des travailleurs indépendants

    Les plafonds du régime de la micro-entreprise seront rehaussés à compter de 2018 afin de permettre au plus grand nombre de travailleurs indépendants d’accéder à ce régime simplifié. Ils seront portés à :

    • 170 000 € pour la vente de marchandises ;
    • 70 000 € pour une prestation de services.

    Retrouvez toutes les mesures annoncées dans le dossier de presse [PDF – 4,01 Mo]

     

    Toute personne peut devenir micro-entrepreneur, que ce soit à titre principal ou à titre complémentaire. Cette activité doit être exercée sous forme d’entreprise individuelle et relever pour l’assurance vieillesse du Régime social des indépendants (RSI) ou de la Caisse inter-professionnelle de prévoyance et d’assurance vieillesse (Cipav). Retour sur les démarches et les conditions.

    Immatriculez-vous comme micro-entrepreneur

    Le micro-entrepreneur doit :

    • s’immatriculer au registre du commerce et des sociétés (RCS) s’il est commerçant ou au répertoire des métiers (RM) s‘il est artisan. Il est exonéré des frais d’immatriculation. Pour effectuer cette démarche, le micro-entrepreneur doit fournir des pièces justificatives :

    - pour une activité artisanale,

    - pour une activité commerciale et artisanale,

    - pour une activité commerciale,

    • avoir une qualification ou bénéficier d’une expérience professionnelle pour des activités telles que les métiers du bâtiment, de l’automobile, de l’alimentaire, de la coiffure, de l’esthétique…,
    • effectuer le stage préalable à l’installation (SPI) dans une chambre de métiers, s’il crée une activité artisanale,
    • souscrire une assurance professionnelle pour certaines activités, notamment pour le bâtiment,
    •  ouvrir un compte bancaire dédié à l’activité professionnelle.

    Les activités exclues du régime de la micro-entreprise

    Sont exclues du régime micro-entrepreneur les activités relevant de la TVA immobilière (opérations de marchands de biens, lotisseurs, agents immobiliers, opérations sur les parts de sociétés immobilières), les locations d’immeubles nus à usage professionnel, certaines activités commerciales ou non commerciales comme la location de matériels et de biens de consommation durable.

    Lire aussi : Pouvez-vous souscrire au régime micro-entrepreneur ?

    Effectuez une déclaration de début d'activité sur le portail des auto-entrepreneurs

    Vous créez votre activité
     
    Vous êtes déjà entrepreneur individuel

    et souhaitez devenir micro-entrepreneur.

    • Si vous ne changez pas d’activité, complétez le formulaire en ligne.

    • Si vous changez d'activité, rapprochez-vous de votre Centre de formalités des entreprises.

    Dès la réception de votre n° Siret, inscrivez-vous pour déclarer et payer en ligne.

    Lire aussi : Micro-entreprises, quel est le montant de vos charges sociales ?

    Calculez et payez les charges sociales en fonction du chiffre d'affaires brut

    Vous bénéficiez d’un régime simplifié de calcul et de paiement des cotisations et contributions sociales obligatoires. Chaque mois ou chaque trimestre (selon votre choix), vous devez calculer et payer vos charges sociales en fonction du chiffre d'affaires brut réalisé.

    Selon le RSI, ce forfait social comprend toutes les cotisations relatives à la protection sociale obligatoire : assurance maladie-maternité, indemnités journalières (pour les artisans et commerçants), contribution sociale généralisée (CSG) / contribution au remboursement de la dette sociale (CRDS), allocations familiales, retraite de base, retraite complémentaire obligatoire, régime invalidité et décès.

    Lire aussi : Micro-entrepreneurs : comment déclarer vos revenus ?

    Respectez un seuil de chiffre d'affaires de la micro-entreprise

    L’entreprise individuelle doit relever du régime fiscal de la micro-entreprise, c’est-à-dire réaliser un chiffre d’affaires qui ne doit pas dépasser pour une année civile complète en 2017 :

    82 800 € pour une activité de vente de marchandises, d’objets, de fournitures, de denrées à emporter ou à consommer sur place, ou pour des prestations d’hébergement, à l’exception de la location de locaux d’habitation meublés dont le seuil est de 33 200 euros ;

    33 200 € pour les prestations de services relevant de la catégorie des bénéfices industriels et commerciaux (BIC) ou des bénéfices non commerciaux (BNC). L’entreprise est en franchise de TVA (pas de facturation, ni de récupération de TVA). Le micro-entrepreneur ne peut déduire aucune charge (téléphone, déplacement…).

    Les plafonds du régime de la micro-entreprise seront rehaussés à compter de 2018.

    Lire aussi : Micro-entreprise : que faire quand on dépasse le seuil de chiffre d'affaires ?

     
  • Buralistes, diversifiez votre activité et obtenez une prime !

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    Source : https://www.economie.gouv.fr/entreprises/tabac-buraliste-prime-diversification?xtor=ES-29-[BIE_79_20170907_ExpComp]-20170907-[https://www.economie.gouv.fr/entreprises/tabac-buraliste-prime-diversification]-316092@1992-20170907083500

     

    "Buralistes, diversifiez votre activité et obtenez une prime !

    23/08/2017

    Afin d’aider les débitants de tabac à diversifier leurs activités, une prime de diversification de 2 000 euros par an leur est attribué sous conditions. Quelles sont les conditions pour obtenir l’aide ? Êtes-vous éligible ?

    ©Phovoir.fr

    Conditions pour obtenir la prime de diversification des activités de buraliste

    Cette prime est accessible aux buralistes respectant les conditions suivantes :

    Lire aussi : Travailleurs indépendants : sous quelles conditions obtenir la prime d'activité ?

    Liste des produits et services éligibles à l'attribution de la prime de diversification :

    • délivrance de timbres postaux sous format papier ;
    • relais postaux ;
    • offre de presse nationale ou régionale ;
    • délivrance de timbres-amende sous format papier, ou existence d'un agrément en cours ;
    • point de vente agréé pour le paiement automatisé des amendes ;
    • offre de jeux de grattage, de loterie ou de paris sportifs ou hippiques ;
    • délivrance de timbres fiscaux au format papier ;
    • offre de services téléphoniques ;
    • réception/dépôt de colis au bénéfice des usagers ;
    • commerce alimentaire de proximité offrant des produits de première nécessité ;
    • délivrance de titres de transports nationaux, régionaux, intercommunaux ou communaux ;
    • offre de services numériques, de type wifi ;
    • offre de services bancaires de proximité ;
    • station-essence ;
    • services à la personne (encaissement de factures pour le compte de tiers, dépôt pressing et fourniture de bonbonnes de gaz).

    Lire aussi : Embauche d'un(e) apprenti(e) : vous avez droit à des aides

    Quand recevrez-vous votre prime ?

    La prime pourra être perçue chaque année, dès 2018 au titre des activités de 2017, et jusqu’en 2021. Pour pouvoir en bénéficier, vous devez envoyer une déclaration au service douanier dont vous dépendez avant le 31 octobre de chaque année. La prime de 2 000 euros vous sera ensuite versée au cours du premier trimestre de l’année suivante.

    Télécharger la déclaration [PDF – 728 Ko]

    Lire aussi : Contrats aidés : quels avantages pour votre entreprise ?

     
  • 40 % des créateurs d’entreprises sont des femmes ! Et elles sont de plus en plus nombreuses !

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    40 % des créateurs d’entreprises sont des femmes ! Et elles sont de plus en plus nombreuses ! Découvrez en moins de 2 minutes l’expérience de plusieurs d’entre elles !

  • ADHESION A UN ORGANISME DE GESTION AGREE : VOTRE CLIENT PEUT SIMPLIFIER SA GESTION ET BENEFICIER D’AVANTAGES FISCAUX !

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    Votre client peut bénéficier d’une assistance technique en matière de gestion, de tenue de comptabilité et de formation tout en profitant d'avantages fiscaux !

     

    EN SAVOIR +

  • MENTIONS SUR UN SITE INTERNET : QUELLES OBLIGATIONS DOIT RESPECTER VOTRE CLIENT ?

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    Quelles sont les mentions obligatoires ? Votre client doit-il obtenir le consentement des internautes concernant les cookies ? Doit-il déclarer votre site Internet à la CNIL ?

     

    EN SAVOIR +

  • CLIENT INDEPENDANT : A QUELLES PRESTATIONS SOCIALES EST-IL ELIGIBLE ?

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    Votre client indépendant a droit à des prestations sociales ! Venez faire une simulation !

     

    EN SAVOIR +

  • VOTRE CLIENT EST COMMERÇANT ? L'UTILISATION D'UN LOGICIEL DE CAISSE CERTIFIE SERA OBLIGATOIRE AU 1ER JANVIER 2018 !

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    Pour un logiciel de caisse, contactez-nous : contact@audentia-gestion.fr

    Pour lutter contre la fraude fiscale, les professionnels devront utiliser en 2018 uniquement des systèmes de caisse certifiés. Quels effets pour votre client ? Quels logiciels sont concernés ?

     

    EN SAVOIR +

     

  • Crédit impôt recherche : votre client peut améliorer la compétitivité de son entreprise et diminuer ses impôts !

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    "Quel que soit son statut, son secteur d’activité, son chiffre d’affaires, votre client peut bénéficier du Crédit impôt recherche et diminuer vos impôts ! Quelles dépenses sont prises en compte ? Comment le calculer ?"

    Tout savoir

  • Client micro-entreprises : les plafonds de chiffre d’affaires vont doubler en 2018 !

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    Votre client est micro-entrepreneur ? Il sera concerné par le doublement des plafonds de chiffre d’affaires en 2018 ! Il est prévu dans le programme du gouvernement en faveur des travailleurs indépendants. Quels sont les plafonds actuels ? A quel niveau seront les prochains ?

    En savoir plus